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Vivre chez l’habitant et échanger ses services pour alléger ses dépenses !

Voyager au long terme c’est avoir le luxe du temps. Cela permet de se poser ici et là, de s’imprégner d’un lieu, découvrir son quotidien avec d’autres yeux que ceux de voyageurs et préparer tranquillement ses prochaines vadrouilles.

Nous avons choisi d’hiberner à Auckland dans le but de mettre de côté pour pouvoir repartir de plus belle. Seulement voilà, se loger dans une grande ville s’avère être vite onéreux et la cité la plus peuplée de Nouvelle Zélande ne dément pas à la règle. Nous avons eu le temps de tester différents types d’hébergements alternatifs aux auberges et à la colocation, dans le but d’économiser et d’apprécier Auckland à notre façon.

Auckland by night

Une cité étendue

Auckland est une ville assez vaste, peut être est-ce lié au fait que celle-ci soit bâtie sur une cinquantaine de volcans endormis, ou bien que le centre ville avec ses hauts grattes ciel donne rapidement place à des quartiers résidentiels dépourvus de hauteur.

Lorsqu’on cherche à s’installer temporairement, il est important de choisir judicieusement son quartier en prenant en compte le trafic, la proximité des transports en commun, l’emplacement du logement et de votre lieu de travail évidemment ! Des quartiers dynamiques et proches du centre comme Ponsonby, Newmarket, Parnell, aux agglomérations plus lointaines et calmes comme Takapuna, Mission Bay, Greenhithe, voire Albany, entourées de verdure ou bien enivrées d’un air marin, tout cadre est envisageable à Auckland.

Read in englishHow to spend a winter in Auckland on a budget?

During our travels, we like to take the time to enjoy a place and try to explore it with the eyes of a local. We decided to stay in the kiwi’s biggest city to work for a bit and save up in order to keep on traveling. Affording to live here is a challenge but we nailed it! We spent about 5 months in the Auckland area and only paid 2 weeks accommodation.

The first and only time we paid a rent was for a room in a beautiful family house in Ponsonby. It wasn’t a collocation, we were at someone’s place which was quite peaceful and convenient. For a cheaper price than a backpacker hostel it is much more comfy with real privacy. This is a great opportunity to meet locals and share good times with the owner.

The rest of the time, we had a roof over our heads thanks to service exchange communities like wwoofing and helpX, all around Auckland, in remote areas but also in the very centre. Here is how it works: you give a hand to your host for half a day and in return you get food and accommodation. Simple. It doesn’t cost you money but it does cost you time. But hey, spending it gardening, cooking or doing all sorts of things with open minded people who want only to share as much as possible with you isn’t so bad! To be honest, our best memories from Australia and NZ were only made possible through this alternative way of traveling and we love the connection to nature we found in the wwoofing spirit.

The last solution we’ve tried is house sitting. It was harder to find a host but very gratifying. Mainly because you have no expenses except for your own food and you get much more time for yourself. Basically, as a house sitter you live in the house of someone who goes away for a period of time and wants his/her home to be looked after, pets and chooks to be fed and loved, garden to be cared of… House sitting involves availability, trust and references (mainly provided by our amazing wwoofing hosts). It’s the perfect solution to settle somewhere temporarily, especially when you can work from home!

Auckland at sunset
Auckland // St Heliers

La location chez l’habitant

Si l’on parle d’une ou deux semaines à fuir les hôtels de backpackers bruyants et pas toujours bien entretenus, louer une chambre chez une famille est une bonne alternative de bien meilleur confort. Cette solution, moins onéreuse qu’une chambre double ou un dortoir en auberge, présente de nombreux avantages.

Les +
• Plus confortable et intime qu’un Backpacker et surtout moins cher
Pas besoin de paperasse ou de preuves de revenu, juste un bon feeling !
Choix du quartier
• Un proprio kiwi de bon conseil !

Les –
• Le budget reste élevé
• On vit chez quelqu’un et se doit de suivre les règles de la maison et de s’adapter au rythme du propriétaire

En Nouvelle Zélande comme en Australie, les loyers se règlent souvent à la semaine. Si on cherche une location, il faut vite faire la conversion pour ne pas être perdu. Ainsi une chambre à louer pour un couple dans une maison proche du centre reviendra au minimum à NZ$250 la semaine, soit NZ$1000 le mois, ce qui fait dans les 600€. C’est le tarif que nous avons trouvé dans le quartier de Ponsonby, très proche du centre ville, dans une rue un peu à l’écart du brouhaha urbain, un quartier royal au cœur de tout. Il m’est souvent arrivé de rentrer à pied du travail (situé en plein centre ville) en 30 minutes environ. On y découvre une ville aérée avec pas mal de points de verdure et de jolis cafés, il y fait bon vivre.
En location chez l’habitant, il faut s’attendre aussi à vivre chez quelqu’un, c’est-à-dire suivre les règles de la maison aussi farfelues qu’elles puissent être ! Ça reste tout de même un bon moyen d’échanger avec des locaux, de partager repas et discussions sympathiques.

Sunset at the Sky Tower
Auckland // Central

Les autres options d’hébergement que nous avons choisies étant bien plus économiques, nous n’avons testé la location chez l’habitant que le temps d’un transit de seulement 2 semaines (entre 2 house sittings) sur 5 mois passés à Auckland.

L’échange de service

Ne rien dépenser quand on ne gagne rien est une solution honorable. Il suffit d’être volontaire, indépendant et d’aspirer à rencontrer des locaux, partager et apprendre à travers eux.
Ce système consiste à offrir sa main d’œuvre à un hôte qui fournit en échange le logement et les repas. Le temps et le type de travail changent en fonction des hôtes et des compétences du wwoofer. Jardinage, cuisine et aide à la vie de tous les jours sont les ‘tâches’ les plus communes mais on expérimente plein d’autres petits boulots parfois inimaginables : construction, rénovation, peinture, collecte de fruits, nourrissage des poules, tonte de mouton, toilettage du chien, baby sitting, maintenance d’un voilier, organisation d’un festival…

Les +
Pas de loyer ni de nourriture à payer
• Des repas sains, souvent à base de récoltes du jardin, d’œufs de poules élevées en plein air, de produits locaux et du fait maison
Immersion locale, partage d’expériences et d’activités non touristiques
Flexibilité sur le travail et le planning
Apprentissage de nouvelles compétences
Pratique de son anglais (ou maori !)
Découverte d’endroits hors sentiers battus connus seulement des locaux

Les –
• On donne beaucoup de son temps entre le travail, la cuisine et l’échange avec les hôtes
• On vit chez quelqu’un et partage son mode de vie, ce qui peut être parfois un handicap
• Les hôtes peuvent être éloignés du centre ville et pas toujours accessibles en transport en commun

Volunteer worker
Ça bricole et ça jardine !
Willing Workers On Organic Farms
Wwoofing Experts

La plupart des hôtes sont très flexibles, il y a toujours moyen de trouver un arrangement qui convienne à tous comme travailler plus d’heures sur 3 ou 4 jours par semaine afin d’avoir des jours entiers de libre, travailler moins en échange du logement uniquement et avoir plus de temps pour soi en gérant ses repas, se débrouiller pour qu’une personne sur deux travaille plus d’heures si l’autre possède un travail rémunéré ailleurs…

Un avantage très utile lorsque vous débarquez dans le pays, c’est l’aide que peut vous apporter votre hôte lors de vos démarches (ouverture de compte bancaire, demande de l’IRD, recherche d’un véhicule et souscription à une assurance auto…). Si vous demandez gentiment, la plupart des hôtes ne verront pas d’inconvénient à ce que vous utilisiez leur adresse pour recevoir votre courrier.

Comme partout, il y aura toujours des personnes qui essaieront de vous exploiter sur le travail, le logement, la nourriture, certains ne seront pas intéressés par un quelconque échange et d’autres se méfieront à cause de mauvaises expériences par le passé. Si vous avez vécu un échange du genre, retentez l’expérience car vraiment, ça vaut le coup !

Les terreurs du bricolage
En mode aménagement du van dans le garage de notre hôte

Plusieurs plateformes permettent de rentrer en contact avec des hôtes : le wwoofing et le helpX sont celles que nous avons utilisées. Si la tendance du wwoofing tourne autour du jardinage et des fermes biologiques, vous trouverez moins d’annonces en centre ville comparé au helpX qui est plutôt fourni en petits boulots en tout genre. Les adhésions sont différentes : devenir membre du wwoofing coûte environ 25€ pour 1 an uniquement en Nouvelle Zélande contre 2 ans pour un abonnement international avec helpX d’une valeur de 20€.

C’est à travers ces méthodes que nous avons été accueillis pendant 3 mois l’hiver dernier par différents hôtes aux alentours d’Auckland (auxquels s’ajouteront 2 autres mois l’été suivant, oui on est addicts !).

A couple with bird hats in a sunny garden
Le wwoofing ça rend aussi créatif ^^

Nous avons été reçus dans dans des conditions uniques à chaque fois, travaillant et s’organisant en fonction des besoins de chacun, tout le monde y trouve sont compte. Si vous êtes un amoureux de la nature et de l’échange, cette solution est parfaite ! Le respect de l’environnement fait souvent partie intégrante de l’esprit du wwoofing. Et rencontrer des locaux via ce moyen, c’est rencontrer des personnes ouvertes d’esprit qui ont l’envie de partager leur mode de vie. Ici pas de relation à l’argent, simplement du contact humain, alors pourquoi ne pas essayer ? Et puis qui sait, avec un peu de chance, vous pourriez même trouver du travail grâce à vos hôtes !

Sheep farming
Les joies du wwoofing !
Hedgehog in my garden
Des camarades de travail au fond du jardin
Strange Caterpillar
Mating Praying Mantis
A Mouse In A Rusty Pipe

Ce qu’on aime le plus en voyagent de wwoofing en helpx c’est partager la vie de nos hôtes, de part le travail mais aussi à travers leur vie sociale. Souvent, ils se font un plaisir de nous emmener dans toutes leurs activités, on fait partie de la famille, de la communauté ! Nous avons pu profiter de virées en voilier dans la baie d’Auckland avec une vue imprenable sur le Rangitoto, d’un rodéo en 4×4 dans une forêt de fougères en compagnie de glow worms, d’un concert sur la plage de Bethells Beach, d’un délicieux BBQ avec des gens qui ont figuré dans le Seigneur des Anneaux, de nombreuses séances de yoga, d’un mariage maori… Bref, des trucs qu’on n’aurait jamais expérimenté sans ces rencontres ! Soyez prêts à créer de profonds liens avec vos hôtes ! Et puis avouons qu’ils ont souvent un mode de vie décalé, qui nous plait bien et nous inspire.

Zoom the Glob, dans leur article sur la richesse des échanges, témoigne très joliment de la relation qu’on établit avec les hôtes : ‘Ces inconnus de la veille deviennent un bout de famille‘.

[ EDIT ] Découvrez vite notre livre Wwoofing et voyages alternatifs paru en Septembre 2022 !

Pizza night
Soirée pizza chez Keith, notre hôte adoré chez qui nous avons vécu plus de 2 mois !

Le house sitting

Vivre gratuitement dans une maison, en échange de la surveiller, cela paraît fou ? Pas tant que ça ! Beaucoup de personnes recherchent des gens de confiance lorsqu’elles partent pour une plus ou moins longue période, afin de conserver une présence chez ellex et souvent tenir compagnie à leurs petits protégés à 4 pattes.

Le principe du house sitting est simple : faire garder sa maison par des personnes (‘gardiens’) qui cherchent un logement sur une certaine période. Les gardiens ont donc pour rôle de s’occuper de la maison, du jardin et des animaux afin de rassurer les propriétaires. En échange, ils peuvent vivre dans un quartier, un pays, sans payer de loyer. Cet échange est basé sur la confiance (beaucoup de contact et d’entretiens en amont, on s’écrit, on se rencontre, le bon feeling doit être réciproque). Ici aussi, comme pour le wwoofing et l’helpX, l’argent ne rentre pas en jeu.

Les +
Pas de loyer et en général pas de factures à payer
• Privilège de vivre dans une belle propriété dans un coin souvent agréable à vivre
• Parfois accès à d’autres avantages (wifi, voiture, nourriture…)
• Une compagnie à poil ou à plumes
Se sentir chez soi à l’autre bout du monde même si c’est temporaire

Les –
• Il faut être réactif dès qu’une offre se présente et disponible sur une période fixe
• Besoin de fournir des références
Responsabilités importantes, il faut être digne de confiance et ne pas mettre le feu à la baraque !
• Parfois loin des transports en commun

Nous avons ainsi vécu environ 2 mois dans 3 maisons différentes aux alentours d’Auckland, en compagnie de chiens et chats avec des avantages en nature comme l’obligation de vider le frigo, ou bien des œufs et légumes frais du jardin à volonté !

Wooden house in the tropics
Vivre ici pendant un mois, vous diriez non vous ?

Le house sitting semble être la solution ultime de tout voyageur au budget serré, mais il existe quelques contraintes de taille pour dénicher ce Graal. Il y a tellement de gardiens disponibles (du moins sur Auckland) que les chances d’être retenu sont rares (nous avons essuyé pas mal de refus ou non réponse) sans parler des références souvent demandées par les propriétaires. Autant dire qu’il est difficile d’obtenir sa première expérience. Il faut être également disponible : un propriétaire sera plus rassuré par quelqu’un qui reste à la maison la plupart du temps, quitte à travailler à domicile, plutôt que quelqu’un qui est absent toute la journée.

Dog walking on a beach at sunset
Promenade du soir à Mairangi Bay avec Poppy

Proche de la ville, excentré, ou totalement perdu, on ne sait pas où l’on va tomber, ni avec quelles responsabilités et quel genre d’animaux garder. Le house sitting est une sorte de loterie où tout est possible mais ça vaut la peine d’y passer quelques heures de recherches qui pourraient fructifier. Choisir le quartier n’est souvent pas possible, on apprend en revanche à le découvrir d’un autre œil, celui d’un local. Les maisons sont en général à couper le souffle, on s’imprègne vite des alentours et on se surprend à penser : ‘c’est le genre d’endroit où j’aimerais vivre un jour’…

Healthy breakfast with sea views
Et un p'tit dej avec vue sur le Auckland Harbour !

Il existe des plateformes payantes pour accéder aux offres de house sitting (Kiwi house sitters est celle que nous avions choisi pour NZ$65 l’année), mais le bouche à oreille est le meilleur allié pour trouver une maison à garder. Par le biais du wwoofing ou du helpX, on rencontre des personnes qui peut-être nous feront confiance dans le futur. Nous avons ainsi pu garder 2 maisons sur 3 via des contacts de nos hôtes lors de précédents wwoofings. Sans compter le nombre de fois où nous avons ‘house sitté’ pour nos hôtes en leur absence, en Nouvelle Zélande et en Australie (on a même eu la chance de garder des bébés wallabys ! Si, si !).

Ginger cat on a red couch
On n'est pas bien là ?

L’alternative à quel prix ?

Se loger sans dépenser est relativement accessible sur Auckland et ses environs. Cela demande de l’organisation et de la recherche, mais au final on ressort grandi de toutes ces expériences. Sur nos 5 mois hivernaux passés à Auckland, nous avons vadrouillé dans une demi douzaine de propriétés différentes aux quatre coins de la ville. Nous n’avons payé que deux semaines de loyer sur toute cette période, le reste nous aura simplement coûté de notre temps (mis à part les frais d’adhésion dérisoires aux plateformes d’échange) pour contribuer à la recherche de nos futurs gîtes et hôtes.

Ces 3 solutions d’hébergement ont leurs avantages et inconvénients, mais en un sens elles se complètent : sans le wwoofing on n’aurait jamais eu assez d’expérience et d’appui pour garder des maisons et la chambre à louer fut un bon moyen de souffler, d’organiser les prochains wwoofings, de profiter un maximum de notre temps.

Notre hiver à Auckland sur Instagram :

Fenêtre colorée
Wooden chest pieces
Coucher de soleil sur l'océan
A fern in my coffee
Latitude zero
All Blacks
Free range eggs
Arc en Ciel en Nouvelle Zélande
Winter fruit
Nomade digital
Coucher de soleil sur la baie
Mercer cheese shop

S’il n’existe pas une solution miracle pour vivre dans un quartier d’Auckland sans rien dépenser (si, on aurait pu vivre dans notre van près du Viaduct ou enchaîner les couchsurfing…), il y a en revanche beaucoup de solutions alternatives. Nous avons opté pour ces 3 options et nous les recommandons vivement, surtout si vous souhaitez rencontrer, apprendre et échanger dans des lieux authentiques et avec des personnes intéressantes. Les kiwis sont des gens merveilleux !

Ce mode de vie et de voyage peut finalement s’appliquer dans de nombreux autres endroits du monde et c’est par ces moyens là que nous avons fait nos plus belles rencontres et aussi les plus improbables.

Et ce ne sont pas les activités qui manquent aux alentours d’Auckland, même en hiver ! En mai on découvrait la colonie de fous austraux à Muriwai, en juin on rencontrait Kevin le chat du Mont Eden, en juillet on se baladait aux Hunua Falls, on en août on allait assister à un match des All Blacks au stade Eden Park, en septembre on faisait un coucou aux dauphins du Hauraki Gulf :)

New Zealand gannet colony
Les falaises de Muriwai
Hunua Ranges, New Zealand
Les Hunua Falls, à 1h de route d'Auckland
Kevin aux portes de la civilisation
Le chat qui vivait dans le cratère du Mont Eden
Bottlenose dolphins
Bottlenose dolphins // Hauraki Gulf

Et toi, où vis tu lors de tes escales au long terme ?

Cet article comporte 6 commentaires

  1. Muy interesting et agréable votre dernier article! On tente le homesitting à partir de la semaine prochaine ! Espérons que l expérience soit aussi positive que les vôtres !
    Bises – les Colibris
    Ps: la tronçonneuse vous va très bien! Très gentleman farmers !

  2. Bravo pour cet article bien intéressant, bien construit et super bien rédigé ! C’est une mine d’or pour les voyageurs en pleine préparation, et ça nous donne envie de retrouver des helpX farfelus ! :)
    On a eu notre premier house sitting grâce à notre premier helpX, comme quoi…
    Et notre deuxième house sitting via un site… je pense que personne ne voulait garder leur maison tellement c’était le bordel… nous qui ne sommes pas franchement très ordonnées, on était juste sidéré par l’état de la baraque…
    On avait pour mission de vider le frigo, nous aussi. Bah on a passé notre première journée à le « vider » oui : à le nettoyer, jeter les trucs moisis… une GRANDE expérience ! Ahah. Mais j’avais vraiment besoin de finir un boulot, alors on n’a pas fait les fines bouches. C’est toujours bon à prendre, un logement gratos pour un mois.
    Merci pour le petit lien, c’est toujours un régal de vous lire !

    1. Merci Alice !!! C’est cool que vous expérimentiez vous aussi ces différentes façons de vivre à l’étranger. Bon même si l’endroit n’est pas toujours reluisant, au moins c’est free ! J’espère que vous en trouverez en NZ. L’année dernière on avait vu des annonces pour de nombreux mois voire une année entière, ça nous aurait bien intéressés pour notre retour mais là je n’en trouve pas c’est dommage… on va devoir se trouver une coloc ou une chambre chez l’habitant !

  3. Pour la location chez l’habitant, l’échange de services et le house sitting à Auckland, auriez-vous des conseils de site Internet de recherche svp ?
    Merci pour votre article, très sympa !

    1. Bonjour Royer ! Pour la location chez l’habitant nous avons utilisé Gumtree mais je crois que la plateforme n’existe plus en Nouvelle Zélande, cependant Trade Me en est une autre très populaire. Pour l’échange de service, comme indiqué dans l’article nous sommes membres du Wwoofing et du HelpX qui permettent de rentrer en contact avec les hôtes, il y a aussi Workaway. Et enfin pour le house sitting nous avons surtout trouvé grâce au bouche à oreille et au site Kiwi House Sitters. J’espère que ces références te seront utiles et merci pour ton passage :)

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